Saviez-vous que 77% des personnes diabétiques souffrent d'anxiété ou de dépression liées à leur condition? Ce n'est pas l'exception, c'est la règle.
Un diabétique prend en moyenne 180 décisions quotidiennes liées à sa maladie. Cette "charge mentale invisible" s'accompagne d'une crainte constante des complications (83% des patients selon l'IDF) et souvent d'une stigmatisation sociale persistante.

Les conséquences? Un cercle vicieux dangereux:
•    Dépression réduisant l'adhésion thérapeutique de 40%
•    Anxiété perturbant directement le contrôle glycémique
•    "Diaboulimie" touchant jusqu'à 30% des jeunes diabétiques de type 1

Heureusement, des approches intégratives montrent des résultats prometteurs, comme le programme de l'Université de Pretoria qui améliore l'HbA1c de 28% tout en réduisant les symptômes dépressifs de 45%.

Il est temps de reconnaître que le diabète n'est pas qu'une maladie du pancréas, mais une condition qui affecte l'être humain dans sa globalité.
Car l'objectif n'est pas seulement de vivre plus longtemps avec le diabète, mais de vivre mieux, l'esprit serein dans un corps mieux soigné.